Suivez Russia Beyond sur Telegram ! Pour recevoir nos articles directement sur votre appareil mobile, abonnez-vous gratuitement sur https://t.me/russiabeyond_fr
Le débat sur l’auteur de cette riche soupe à la couleur rouge caractéristique ne s’est pas arrêté à ce jour. Une chose est claire : pour de nombreux pays, dont la Russie, le bortsch est devenu un élément essentiel de la cuisine nationale, sans lequel il est tout simplement impossible d’imaginer la vie quotidienne.
Jusqu’au XVIIe siècle, le mot « bortsch » ne désignait pas une soupe, mais une plante que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de « berce sphondyle ». À cette époque, c’était une plante aussi courante que, par exemple, la laitue aujourd’hui. Cependant, à un moment donné, ce nom a été attribué au plat lui-même, dont l’ingrédient principal n’était pas la berce sphondyle, mais la betterave. Certes, dans cette ancienne soupe aux betteraves, l’on reconnaîtrait à peine sa riche version moderne avec le reste de ses ingrédients que nous connaissons aujourd’hui. Le prototype d’un tel bortsch n’a été mentionné pour la première fois dans les sources écrites du pays qu’en 1789, et il existe aujourd’hui de nombreuses variantes en Russie. Cuisinons-en une ensemble !
Dans cette autre publication, découvrez pourquoi les Russes sont fans de soupes.
Dans le cadre d'une utilisation des contenus de Russia Beyond, la mention des sources est obligatoire.
Abonnez-vous
gratuitement à notre newsletter!
Recevez le meilleur de nos publications directement dans votre messagerie.