Hôtesse de l’air devenue chanteuse pop, Ioulia Zivert a connu la gloire en 2017 à l’âge de 27 ans. Après des années de vol, la future star a en effet commencé à se sentir seule car son travail nécessitait des absences prolongées, loin de ses proches. Zivert a alors gagné en popularité en tant qu’artiste dès la sortie de son premier morceau Chuck.
Zivert et son équipe ont tourné le clip de Life à Hong Kong. « Life reflète mon humeur. C’est une humeur de profonde réflexion dans la solitude », a-t-elle confié sur Instagram.
« Chaque fois que tu es ici je peux aimer
Ne sais-tu pas que j’ai attendu si longtemps
Comme une première fois, donne-moi cette folie
Juste reste et regarde-moi dans les yeux ».
Ce groupe pop de six hommes est originaire de Stavropol (1 230 kilomètres au sud de Moscou) et est rapidement devenu l’un des collectifs les plus populaires du pays.
Leur nouveau single Byt odnoï (Être seule) s’accompagne d’un clip épique mettant en scène l’idée d’une demande en mariage surprise à une femme qui était habituée à être seule mais qui n’hésite pas à dire « oui » à l’homme de ses rêves.
« Je ne veux pas dormir ; Je ne veux juste pas savoir
Qu’elle partira encore le matin.
Je remplirai ma tête de non-sens.
Pour une certaine raison, elle aime juste être seule ».
Ani Vardanyan, âgée de 22 ans, vient d’Ossétie-du-Nord-Alanie, une république du Caucase russe. Ses chansons sont lyriques et amplis de sensibilité, tout comme ses clips.
« L’étoile tombe. Elle me doit un vœu
Je souhaiterai l’éternité à tes côtés.
Que pleurent les cieux, n’y porte pas attention
La pluie cessera et le soleil apparaîtra, à bas les nuages ».
Ce groupe pop-rock iconique a connu ses débuts en 1988, en URSS. Depuis, leurs figures principales, Leva et Choura, ont conquis le public postsoviétique avec un succès ininterrompu.
Leur nouveau titre Pierre philosophale est une virée psychédélique emmenant une babouchka (grand-mère) dans une marchroutka (minibus typique) et mettant en scène un général commandant des conseillers militaires reptiliens. En un mot : bizarrerie.
« Je me sens toujours heureux
Dans les endroits où je peux vraiment être moi.
Où je peux me perdre dans la foule
Et où je n’ai pas besoin de prétendre être quelqu’un d’autre ».
Artour Pirojkov est un personnage satirique créé par Alexandre Revva, un humoriste et homme de scène russe aux origines ukrainiennes. Son double caricatural, Artour Pirojkov, fait toujours le buzz avec sa virilité exagérée lui ayant assuré des hordes de fans à travers le pays.
Son nouveau morceau Zatsepila (Elle m’a mis le grappin dessus) est ainsi devenu viral, récoltant plus de 41 millions de vues en moins de deux mois.
« Elle m’a mis le grappin dessus, elle m’a aveuglé.
Elle m’a conduit à son seuil, mais ne m’a pas donné son amour ».
Dans cet autre article, nous vous présentons des titres musicaux en langues minoritaires de Russie, du rap iakoute au hip hop tatar.
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