La ville russe d’Elabouga résumée en trois mots

Éducation
BORIS EGOROV
Cette petite ville de la République russe du Tatarstan est connue pour son centre historique parfaitement préservé et est extrêmement populaire auprès des touristes. Voici trois de ses symboles.

Suivez Russia Beyond sur Telegram ! Pour recevoir nos articles directement sur votre appareil mobile, abonnez-vous gratuitement sur https://t.me/russiabeyond_fr

Colline fortifiée (Городище/Garadichtché)

Non loin de la ville, sur une colline bordant la rivière Kama, se dressent les vestiges d’une forteresse datant du Xe siècle, soit de l’époque de l’ancien État de la Bulgarie de la Volga. Aujourd’hui, il n’en reste pratiquement rien, sauf une tour.

Ivan Chichkine

L’un des plus grands artistes-peintres de Russie est né en 1832 à Elabouga. C’est ici qu’il a passé son enfance et une partie de sa jeunesse et a commencé à dessiner. C’est toujours ici qu’il venait chercher de l’inspiration. Aujourd’hui, la ville abrite un musée dédié à sa personne.

Marina Tsvetaïeva

Le 31 août 1941, la poétesse Marina Tsvetaïeva a réglé ses comptes avec la vie. La poète a été inhumée dans un cimetière local. Chaque année à cette date, se tiennent des activités commémoratives consacrées à son œuvre.

Dans cet autre article, découvrez le sens de l’expression russe «du monde un fil à la fois».

Chers lecteurs,

Notre site web et nos comptes sur les réseaux sociaux sont menacés de restriction ou d'interdiction, en raison des circonstances actuelles. Par conséquent, afin de rester informés de nos derniers contenus, il vous est possible de :

Vous abonner à notre canal Telegram

Vous abonner à notre newsletter hebdomadaire par courriel

Activer les notifications sur notre site web