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Le printemps rue Zaretchnaïa (1956)
Il s’agit d’un des plus grands succès du cinéma soviétique des années 1950. Il attira dans les salles obscures où il était projeté plus de trente millions de spectateurs. Il reste un témoignage véridique et émouvant de la vie dans l’URSS d’après-guerre. Ce mélodrame romantique raconte l’histoire d’une jeune femme envoyée enseigner dans une école secondaire où des ouvriers complètent leur instruction. Elle se rapproche de l’un d’entre eux. Fiers et indépendants tous les deux, ils ont du mal à nouer des relations sereines et paisibles.
Pour le voir, suivez le lien (sous-titré en anglais).
Quand passent les cigognes (1957)
Deux amoureux flânent toute une nuit dans Moscou et se séparent à l’aube. Quelques heures plus tard, la population apprend que les armées allemandes ont attaqué l’URSS. La Grande Guerre Patriotique commence. Le jeune homme part sur le front comme engagé volontaire, sa fiancée reste à Moscou ...
Ce film est souvent considéré comme le plus romantique et le plus dramatique du cinéma soviétique. Il s’agit aussi d’un des très rares films de guerre où l’on ne voit pas de scène de combat. Dirigé par Mikhaïl Kalatozov, il reste le seul long-métrage soviétique (ou russe) à avoir, à ce jour, obtenu la Palme d’Or du festival de Cannes depuis qu’elle a été instituée en 1955.
Pour le voir, suivez le lien (sous-titré en français).
Les Voiles écarlates (1961)
Ce beau conte de fée mériterait de devenir un dessin animé des studios Disney ! Ce film est l’adaptation du roman d’aventures d’Alexandre Grin (1880-1932) dont il a repris fidèlement le titre. L’histoire se déroule dans un pays imaginaire. La fille d’un marin, qui ne prend plus la mer, s’est fait dire la bonne aventure par un vieux sorcier. Elle croit à la prédiction qu’il lui a faite : un prince viendra la chercher sur un bateau aux voiles écarlates. Son entourage, lui, en doute. Le dénouement de l’histoire prouve que nos souhaits peuvent être exaucés.
Pour le voir sonorisé en français, suivez le lien
La Ballade du hussard (1962)
Ce film est une comédie musicale qui se déroule pendant la Campagne de Russie. Une jeune fille de dix-sept qui ne se satisfait pas de sa condition se déguise en hussard, parvient à incorporer un régiment et part à la guerre. Aucun de ses compagnons d’armes ne soupçonne qu’elle est une femme. Mais, elle tombe amoureuse de l’un d’entre eux.
Pour le voir, suivez le lien (sous-titré en anglais).
L’Ironie du sort (1976)
Comédie romantique très appréciée depuis sa première diffusion, ce film est traditionnellement proposé aux téléspectateurs le soir du réveillon du 31 décembre. Elle raconte l’histoire de Génia, un trentenaire fiancé, mais encore célibataire, qui vit avec sa mère. Dans l’après-midi du 31 décembre, il va aux bains publics avec trois de ses amis, dont l’un doit partir dans la soirée pour Leningrad. Ils arrosent trop leur rencontre et c’est Génia qui s’envole pour la capitale du Nord. Se croyant à Moscou, il donne son adresse à un chauffeur de taxi. L’architecture soviétique des années 1960-1970 étant plutôt uniformisée, il ne s’aperçoit pas qu’il n’a pas été conduit au bas de son immeuble. Il entre dans un appartement qu’il croit être le sien. Quelques minutes plus tard arrive la propriétaire, une belle jeune femme blonde...
Pour le voir, suivez le lien vers la première et la seconde parties (sous-titré en français).
Romance de bureau (1977)
Un employé de bureau introverti rêve d’un avancement, même s’il est conscient qu’il ne le mérite pas. Un de ses vieux amis lui et collègue lui conseille de séduire leur supérieur, une femme qu’il trouve âgée et disgracieuse. À mesure qu’il tente de lui plaire, il découvre qu’elle est bien plus jeune et belle qu’elle ne le paraît. Comment cette comédie, tout aussi drôle que romantique, se terminera-t-elle ?!
Pour le voir, suivez le lien vers la première et la seconde parties (sous-titré en français).
Moscou ne croit pas aux larmes (1980)
Ce film, récompensé d’un Oscar en 1981, raconte l’histoire d’une jeune provinciale montée à Moscou, où elle rêve de faire carrière. Après être tombée enceinte et avoir été abandonnée par le père de son enfant à naître, elle continue de travailler et de suivre des cours du soir. À force d’obstination, elle prend la direction de l’usine où elle avait été embauchée à son arrivée dans la capitale. Mais qu’en est-il de sa vie sentimentale ?
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Vous n’avez pas rêvé (ou Amour et mensonges) (1981)
Ce mélodrame est l’histoire de deux lycéens, Katia et Roma, dont les parents s’opposent à leurs relations. De concert, ils font même tout pour contraindre leurs enfants à rompre. Mais un véritable amour peut-il être entravé ?
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Une Gare pour deux (1983)
Un pianiste fait un voyage en train. Pendant un arrêt, les passagers ont le temps de se restaurer à la gare. La nourriture y est infecte et le pianiste refuse de régler sa note. Une serveuse l’empêche de partir. La conversation s’envenime, il manque son train et est obligé d’attendre le suivant deux jours durant. Deux jours pendant lesquels la serveuse et lui tombent amoureux ...
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L’Amour et les pigeons (1985)
Succès du box-office, ce film reste aujourd’hui l’un des préférés des spectateurs russes. Nombre de ses répliques sont passées dans le langage courant.
Le personnage principal, qui vit tranquillement à la campagne, est un grand rêveur. Il passe beaucoup de temps et dépense beaucoup d’argent à élever des pigeons, ce que sa femme n’a de cesse de lui reprocher. Un jour, il décide de partir en vacances seul et rencontre une autre femme. Qu’ont-ils en commun ?
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Dans cette autre publication, découvrez dix répliques célèbres du cinéma soviétique passées dans le langage courant.