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Opération Y et autres aventures de Chourik
Léonid Gaïdaï, 1965
Une comédie déjantée sur un étudiant un peu benêt nommé Chourik, qui se retrouve toujours dans des situations plus invraisemblables les unes que les autres. Le film se compose de trois parties : choisissez celle que vous préférez !
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Les Filles
Iouri Tchoulioukine, 1961
De jeunes femmes d’horizons et aux intérêts différents vivent dans un dortoir et travaillent sur un grand chantier de construction soviétique. La plus jeune, Tossia, tombe amoureuse, et les conseils avisés de ses camarades de chambre ne vont pas forcément lui simplifier la vie.
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L’Amour et les pigeons
Vladimir Menchov, 1985
Une comédie musicale qui parle d’amour. Un campagnard, marié et trois enfants, est un romantique indécrottable. Par un concours de circonstances, il entame un jour une liaison avec une citadine raffinée. Mais en fin de compte, il ne rêve que de vivre que chez lui, dans son village, avec sa femme et… ses pigeons !
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Ivan Vassilievitch change de profession
Léonid Gaïdaï, 1973
Imaginez que le tsar Ivan le Terrible voyage dans le temps et se retrouve bloqué en URSS dans les années 1970… De son côté, un citoyen soviétique lambda est accidentellement propulsé à la place du tsar ! C’est le point de départ d’une incroyable comédie soviétique.
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Romance de bureau
Eldar Riazanov, 1977
Un employé de bureau vit une vie terne et est trop timide pour changer les choses. Son vieil ami lui suggère de séduire sa patronne pour obtenir une promotion. Et c’est là que les choses très intéressantes commencent !
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La Prisonnière du Caucase ou les Nouvelles Aventures de Chourik
Léonid Gaïdaï, 1967
C’est la deuxième partie des aventures de l’étudiant Chourik. Cette fois, dans le cadre de son stage d’été, il se rend dans le Caucase pour découvrir les traditions locales… et finit accidentellement par s’y empêtrer jusqu’au cou !
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Le Bras de diamant
Léonid Gaïdaï, 1968
Un citoyen soviétique exemplaire se retrouve au mauvais endroit, au mauvais moment. Des trafiquants lui mettent par erreur un plâtre rempli de diamants sur le bras. Lorsqu’ils comprennent la boulette qu’ils ont commise, ils essaient évidemment de récupérer les bijoux… par tous les moyens possibles et imaginables !
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L’ironie du sort
Eldar Riazanov, 1976
Toutes les villes soviétiques possédaient des zones résidentielles qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eau (jusqu’au nom des rues). Ainsi, après s’être enivré le soir un 31 décembre, un Moscovite confond son appartement avec un appartement identique… mais à Leningrad (aujourd’hui Saint-Pétersbourg)… En se réveillant, il pense être chez lui, mais à ce moment-là une belle femme, la vraie propriétaire, ouvre la porte.
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Moscou ne croit pas aux larmes
Vladimir Menchov, 1979
Katia, une jeune provinciale, étudie et travaille à Moscou. Plongeant dans la vie turbulente de la capitale, elle finit par devenir mère célibataire, mais parviendra néanmoins à réaliser une belle carrière. Comment va évoluer sa vie sentimentale ?
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Les Gentilshommes de la chance
Alexandre Sery, 1971
Un adorable instituteur de maternelle ressemble malheureusement comme deux gouttes d’eau à un chef de gang criminel. La police soviétique demande donc au professeur de l’aider à découvrir où se trouve le véritable malfrat. L’enseignant doit agir exactement comme lui et faire croire à ses comparses en prison qu’il est celui qu’il prétend être.
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Les Douze chaises
Léonid Gaïdaï, 1971
Deux aventuriers sont à la recherche de diamants cachés dans l’une des douze chaises d’un ensemble de meubles. Le hic, c’est que toutes ont été vendues, une par une, à différentes personnes, les obligeant à entamer un périple dans toute l’Union soviétique.
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Afonia
Gueorgui Danelia, 1975
Afonia est plombier et la seule chose qui l’intéresse, c’est la boisson. Fait étrange, une adorable jeune femme tombe amoureuse de cet ours mal léché.
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C’est impossible !
Léonid Gaïdaï, 1975
Trois nouvelles comiques en un seul film qui racontent les élégantes années 1920 soviétiques. Elles parlent d’amour, de mariage et de trahison, des conclusions hâtives rendant souvent ces histoires encore plus catastrophiques.
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La plus charmante et attirante
Gerald Bejanov, 1985
De nos jours, personne ne serait surpris de voir une femme célibataire se gargariser de formules d’auto-affirmation pour renforcer son estime de soi. Mais une femme soviétique à qui l’on conseillerait de répéter : « Je suis la plus charmante et la plus attirante » pour trouver un bon mari, voilà qui n’était pas chose courante. C’est le début d’une grande comédie !
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