Eugène Kaspersky : "J’ai cherché à créer une sorte d’Interpol-internet depuis des années, et maintenant c’est enfin devenu une réalité". Crédit : Sergueï Guneev/RIA Novosti
Un tel accord a été conclu lors de pourparlers entre le directeur général du laboratoire Kaspersky, Eugène Kaspersky, le secrétaire général d’Interpol, Ronald Noble, et le directeur général de GCI, Noboru Nakatani, dans l’État-major du laboratoire Kaspersky à Moscou.
Dans le cadre d’une collaboration avec Interpol, l’entreprise s’engage à fournir un soutien consultatif élargi dans l’enquête sur la cybercriminalité et enverra des experts pour travailler dans le bureau du GCI à Singapour qui a ouvert en 2014. En outre, la société soutiendra les initiatives visant à renforcer l’expertise d’Interpol de la police dans le monde entier dans la lutte contre les menaces informatiques et les cybercriminels. « J’ai cherché à créer une sorte d’Interpol-internet depuis des années, et maintenant c’est enfin devenu une réalité, a déclaré Eugène Kaspersky. Nous sommes activement impliqués dans l’enquête sur la cybercriminalité en fournissant notre expertise, de la technologie et des ressources aux organismes d’application de la loi partout dans le monde. Maintenant les criminels ne seront plus en mesure de faire profil bas dans un pays lointain pour se cacher derrière des frontières physiques ».
« L’appui du laboratoire Kaspersky au GCI permet aux organismes d’application de la loi, dans plus de 190 pays membres d’Interpol, de recevoir l’expertise nécessaire pour la réussite des enquêtes sur la cybercriminalité et la protection du cyberespace international », a indiqué Noboru Nakatani.
« Les crimes internationaux ne peuvent pas être combattus seul. C’est pourquoi le savoir et le concours des experts sont si importants pour notre activité. Je suis convaincu que pour réussir la détection et la prévention de la cybercriminalité, les organismes nationaux et internationaux chargés de faire appliquer la loi, doivent coopérer avec les experts reconnus dans le champ de la sécurité, parmi lesquels on compte le laboratoire Kaspersky », a souligné Ronald Noble.
La version intégrale de l’article sur le site d’Itar-Tass.
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