Les ballets de Boris Eifman en huit citations

RODIN - « Le ballet montre Rodin plein de nostalgie pour sa muse, traduit les affres de sa conscience et présente le délire plein d'obsessions maladives de Camille, ou plutôt de celle qui est devenue l'une des Erinyes par la force de l'impitoyable destin ».

RODIN - « Le ballet montre Rodin plein de nostalgie pour sa muse, traduit les affres de sa conscience et présente le délire plein d'obsessions maladives de Camille, ou plutôt de celle qui est devenue l'une des Erinyes par la force de l'impitoyable destin ».

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Boris Eifman fête ce vendredi son 70ème anniversaire. Prenant à bras le corps les œuvres immortelles de la culture mondiale et les grandes personnalités, ce chorégraphe russe de grand talent les traduit dans le langage du ballet psychologique moderne et présente des mises en scènes uniques en leur genre. RBTH vous aide à pénétrer les mécanismes de sa création.
RODIN - « Le ballet montre Rodin plein de nostalgie pour sa muse, traduit les affres de sa conscience et présente le délire plein d'obsessions maladives de Camille, ou plutôt de celle qui est devenue l'une des Erinyes par la force de l'impitoyable destin ».
LA MUETTE - « Quatre personnages principaux et leurs destinées étonnantes, aussi bien dans le monde de la création que dans la vie, trouvent dans notre spectacle leur incarnation émotionnelle et plastique qui exprime notre vision de cette œuvre de Tchékhov. Et sur l’essence même de la compréhension du théâtre ».
DE l'AUTRE CÔTÉ DU PÉCHÉ - « Ce ballet (...) est une tentative d’étudier les sources de la catastrophe morale des Karamazov, de se tourner vers les profondeurs de la
« Le personnage principal du ballet – un mondain charmant et psychiatre de talent – a tout pour matérialiser ses dons et faire une brillante carrière dans la recherche. Toutefois, dans un monde dominé par le pouvoir de l’argent et de noirs instincts, la véritable harmonie est impossible ».
« Dans ce spectacle, nous présentons par le langage du corps les passions, la lutte intérieure et le désespoir, tous ces phénomènes de l'esprit humain qui sont  exprimés avec génie dans le bronze et le marbre par Rodin et Camille. En mettant en scène ce nouveau ballet, j'ai voulu transformer l'instant figé dans la pierre en un courant effréné, émotionnellement chargé de mouvements du corps ».
« Il faut entendre dans
ANNA KARÉNINE - « En lisant Tolstoï, on sent que l’auteur comprend profondément le monde psychologique de ses personnages, on se rend compte de la précision et de la finesse dans la description de la vie en Russie. Dans son roman
EUGÈNE ONÉGUINE - « Toute mon œuvre n’est que tentative de percer le mystère de l’âme russe. Dans
LA GISELLE ROUGE - « Notre spectacle est consacré à Olga Spessivtseva, l’une des plus grandes danseuses du XXe siècle. J’ai été bouleversé quand j’ai appris les détails de sa vie : une artiste absolument unique, couronnée de gloire et portée aux nues par les admirateurs et les critiques, a passé vingt ans dans un hôpital psychiatrique près de New York, absolument seule et privée de droits ! Ce sont les émotions tragiques que j’ai vécues qui m’ont poussé à réaliser cette mise en scène ».
LE REQUIEM - « Le monde des souffrances humaines est sans fond. Mais la vie dissimule en soi la continuation divine de l’existence que chante avec génie Mozart dans son
UP & DOWN - « Notre destin est tissé de cruels paradoxes. La richesse peut devenir plus accablante que la plus grande des misères, tandis qu’un esprit vif et lucide peut se retrouver sans défense devant le chaos de l’inconscient. Cette vérité était connue de Francis Scott Fitzgerald, dont le roman Tendre est la nuit m’a poussé à mettre en scène le ballet

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