Crédits photo : AFP/East News
Lors des négociations qui ont eu lieu le 29 et le 30 mars, les gouvernements russe et français ont conclu un accord sur la libéralisation de la communication aérienne. Il s’agit de désigner le deuxième transporteur régulier national pour les vols reliant Moscou à Paris (Orly) et à Nice à une fréquence de sept vols par semaine pour chaque itinéraire. Pour l’instant, il n’y a qu’un seul transporteur désigné pour ces villes, du côté russe (Aeroflot) comme du côté français (Air France).
La demande de Transaero de supprimer les restrictions pour les vols dans la zone de 200 kilomètres autour de Paris et de Nice n’a pas été satisfaite. Par ailleurs, cette compagnie aérienne déjà pu relier dorénavant ces villes avec Moscou par vols directs.
A présent les autorités aériennes russe et française doivent désigner le second transporteur national pour chaque paire de villes. Selon Rosaviatsia (Agence fédérale du transport aérien), la date pour une séance de la commission à ce sujet n’a pas été encore fixée. La France, de son côté, n’a pas non plus encore choisi qui sera le deuxième transporteur. Maxime Millefert, chargé de mission pour la négociation des accords aériens de la Direction de l’aviation civile de la France, a précisé que cela pourrait être Aigle Azur, qui avait participé à la rencontre intergouvernementale.
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