D’une grande comédie musicale stalinienne, Les cosaques du Kouban d’Ivan Pyriev (1950), aux Histoires courtes de Mikhail Segal (2012), quatre nouvelles entre la comédie et le drame sur la société russe d’aujourd’hui, « Quand les Russes rient » sera l’occasion de découvrir des grandes comédies russes, populaires et exigeantes, formidables et gaies, mais aussi des films « multi genres » à l’humour plus subtil, où l’anecdotique se mélange facilement avec l’attachant, le mélancolique et parfois même avec le dramatique.
Un hommage spécial avec quatre films sera rendu à la grande actrice russe Inna Tchourikova, qui viendra à la rencontre du public français accompagnée de son mari Gleb Panfilov et du directeur des studios Mosfilm Karen Chakhnazarov, deux grands réalisateurs qui l’ont fait tourner dans des films admirables. Dans Le début, un des quatre films présentés pendant le festival, elle joue le rôle de Jeanne d’Arc, héroïne on ne peut plus populaire chez les Russes, preuve s’il en est de l’union profonde entre nos deux pays.
La création cinématographique contemporaine sera représentée par sept court-métrages des années 2000-2010 en compétition. Le Jury du festival attribuera à l’un d’entre eux le Prix de « Quand les Russes rient » qui permettra au réalisateur lauréat de venir à Paris pour rencontrer les cinéastes et le public français.
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