De la passion nait la légende…
L’exposition propose un voyage à travers l’histoire des Jeux
olympiques d’hiver. S’il y a une histoire passionnée et passionnante,
c’est bien celle des Jeux olympiques d’hiver, dont la naissance est
avant tout le fruit de… la passion !
Celle de pionniers alpins, Français, Italiens et Suisses instigateurs
des premiers J.O. d’hiver à Chamonix en 1924. C’est au travers de
quelques figures emblématiques des Jeux olympiques d’hiver, qu’il vous
est proposé de retrouver cette passion olympique : Sonia Henie,
Jean-Claude Killy, Katarina Witt, Vegard Ulvang… ou de découvrir que ces
histoires de légende inspirent le cinéma : le courage des athlètes des
Jeux Paralympiques, le miracle sur glace des hockeyeurs aux Jeux de Lake
Placid, les bobeurs Jamaïcains des Jeux de Calgary…
D’Albertville à Sotchi…
Cette passion est celle qui
embrase la flamme des Jeux au moment où Sotchi prend le relais en 2014,
soit 90 ans après leur naissance au pied du mont Blanc.
Déjà en 1992,
lors des XVIes Jeux olympiques d’hiver d’Albertville et de la Savoie,
le style neuf, joyeux, audacieux des cérémonies d’ouverture et de
clôture avait enchanté les spectateurs. Philippe Decouflé crée une
« corps et graphie » qui transforme le geste sportif en un mouvement de
danse. Les costumes du créateur Philippe Guillotel, toujours présentés à
la Maison des Jeux, sont un envol vers l’imaginaire !
Au pied du massif montagneux du Caucase, au bord de la mer Noire, la
ville russe de Sotchi accueille les XXIIes J.O. d’hiver du 7 au 23
février 2014. Le parc olympique du complexe côtier comprend cinq arènes
pour les sports de glace et le stade Fisht pour les cérémonies. À
environ 60 km, le complexe de montagne de Krasnaïa Poliana, rassemble
les sites des disciplines de neige et de glisse, dont la nouvelle
station de Rosa Khutor, pour les épreuves de ski alpin et de snowboard.
Un homme de l’art…
La passion olympique est aussi celle
du graveur Alain Bar, qui dessine le geste sportif et sculpte les corps
en mouvement. Les affiches d’Alain Bar célèbrent l’effort de l’athlète
tendu vers la réussite et l’harmonie de sa gestuelle :
Au-delà des images charriées par le flot médiatique et souvent chimérique des exploits sportifs,
Le graveur précipite le mouvement en matière,
Le métal en éclair,
Et le corps en prière. (Alain Arvin-Bérod)
Plus d'informations sur le site de la Maison des Jeux Olympiques d'hiver
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