15 nuances d’hiver à Vladivostok

Le phare Tokarevski est considéré comme la fin du continent et le début de la mer bordant l’océan Pacifique. Construit en 1876, il est l’un des plus anciens phares d’Extrême-Orient.

Le phare Tokarevski est considéré comme la fin du continent et le début de la mer bordant l’océan Pacifique. Construit en 1876, il est l’un des plus anciens phares d’Extrême-Orient.

Primamedia
Vladivostok est l’endroit où l’hiver russe vient caresser l’océan Pacifique. Cette rencontre crée tous les ans des beautés innombrables. Des photographies de l’agence Primamedia de Vladivostok ont capturé la splendeur de l’hiver local.
Le pont au-dessus du détroit du Bosphore oriental. Culminant à 324 mètres de hauteur, il relie la presqu’île de Nazimov à l’isthme Novosilsky sur l’île Rousski. La construction du pont fut lancée en 2008 et achevée à temps pour le sommet de l’APEC en 2012.
Brouillard jaune près du pont de la Corne d'Or au-dessus de la baie Zolotoï Rog.
Surfer. Le Sup-surfing est de plus en plus populaire à Vladivostok. La baie de Sobol est considérée comme l’un des meilleurs endroits pour le pratiquer.
Lampadaires gelés sur les quais de la ville.
Le quai Sportivnaïa, ou quai du port sportif est un endroit aussi populaire chez les locaux qu’auprès des touristes. Les premiers baigneurs s’y installaient autrefois : les eaux du golfe de l’Amour étaient célèbres pour leur salinité élevée et étaient considérées comme médicinales. Au début du XXe siècle, le marché de la ville s’y trouvait et vendait poissons et fruits de mer frais.
Poissonnier dans la baie Lazournaïa (plus connue sous son ancien nom de Chamora).
La baie Lazournaïa se situe sur le golfe Oussouriïsk, en mer du Japon. Elle compte trois kilomètres de côtes, abritant pensionnats et centres de loisirs.
Vue sur Vladivostok depuis la mer.
Surf en décembre.
Le Parc national « Terre du Léopard » se trouve dans le sud-ouest du Primorié. C’est la demeure du félin le plus rare du monde, le Léopard de l'Amour.
Un jeune cerf dans le parc national.
Corbeaux au-dessus du plateau Borissovski à la frontière russo-chinoise.
Sur la langue de terre de Tokarevskaïa kochka à Vladivostok et sur l’île Rousski, on peut parfois croiser des phoques. Les spécialistes déconseillent de s’en approcher à moins de 15 mètres, de crier fort, d’agiter les bras ou d’essayer de les nourrir.
En hiver, la surface lisse de la mer attire les pêcheurs locaux.
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